CELA SEMBLE une satisfaction pour les ministres d’un peuple libre de leur annoncer que leur pays sera sauvé. Tous sont agités, tous enthousiasmés, tous brûlent pour entrer dans la combat. Vous savez que Verdun n’est pas encore au pouvoir de nos ennemis et que sa beauté rison jure d’immoler le premier qui insinue une proposition d’abandon. Une partie de notre peuple gardera nos frontières, une autre creusera et armera le des retranchements, le troisième à piques défendra l’intérieur de nos villes. Paris sera deuxième ces grands efforts. Les commissaires de la commune procèderont solennellement réclamer aux citoyens l’invitation à s’armer et à marcher pour la défense du pays. À un tel moment, vous pouvez proclamer que la capitale mérite l’estime de tous. France. En un tel moment, cette assemblée nationale devient un véritable comité de guerre. Nous vous demandons d’être d’accord avec nous pour diriger ce mouvement sublime du les gens, en nommant des commissaires pour seconder et aider toutes ces grandes mesures. nous demander que celui qui refuse de donner un service personnel ou de fournir des armes se réunisse  la punition de la mort. Nous demandons que des instructions appropriées soient données aux citoyens  diriger leurs mouvements. Nous demandons que les transporteurs soient envoyés à tous les ministères pour  informez-les des décrets que vous proclamez ici. Le tocsin nous sonnerons n’est pas  le signal d’alarme du danger, il ordonne la charge sur les ennemis de la France. [App-  plause.] Pour vaincre, nous devons oser, oser encore, toujours oser! Et le coffre-fort  La France est assurée.